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Le marketing sur les réseaux sociaux en chiffre

Je suis tombé récemment sur une infographie de mashable.com présentant de façon très graphique différents chiffres concernant le marketing sur les réseaux sociaux. Voici donc les chiffres qui ont retenu mon attention. Vous pouvez cliquer sur l’image ou le lien pour consulter le tableau complet (en anglais).

  • Une augmentation de 33% des «checkins» dans les McDonald’s lors d’une campagne d’une seule journée offrant au hasard des rabais de 5$ ou 10$ en récompense pour les «checkins» (Foursquare, Facebook Places)
  • 70% des petites entreprises utilisent Facebook comme outil de marketing alors que 66% utilisent Google
  • 4 milliards de partages sur Facebook chaque jour
  • 381 576 305 «checkins» Foursquare en 2010
  • Augmentation de 2700% des abonnés Twitter du compte Old Spice suite à leur campagne virale «The Man Your Man Could Smell Like»

Les chiffres sont très révélateurs et plutôt encourageants pour les PME désirant faire connaître leurs produits et services via les médias sociaux.

 

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Google+ vs Facebook : un tour d’horizon

L’adhésion au nouveau réseau social Google+ est, à l’heure actuelle, réservée aux gens qui ont reçu une invitation. Il est intéressant de constater à quel point cette stratégie de marketing Web intensifie le besoin de rejoindre le réseau rapidement.

Bêta ou VHS ?

Difficile de prédire qui remportera la victoire.

  • Nous sommes déjà tous sur Facebook
  • Nos amis sont presque tous sur Facebook
  • Nous ne voulons pas avoir à changer ou à consulter un deuxième réseau social

Par contre, Google+ comporte ses avantages :

  • Une meilleure gestion de la vie privée
  • Il n’a pas d’applications polluantes (ça viendra peut-être)
  • La vidéoconférence est mieux implantée et plus efficace
  • Beaucoup de gens ont déjà un compte Google (gmail ou autre), ce qui facilitera l’adhésion.

Facebook a déjà commencé à réagir en ajoutant la vidéoconférence (Video chat) à ses applications déjà existantes, mais son installation est d’une telle complexité sur certains comptes ou systèmes qu’on se décourage rapidement.

Référence : http://www.faceblogger.com/google-plus-vs-facebook/

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Des nouveaux produits emballants

 

Après avoir développé le positionnement et la nouvelle identité visuelle du Groupe Dolbec, nous avons travaillé en étroite collaboration avec son équipe afin de concevoir et de réaliser le branding et les emballages pour sa toute nouvelle marque de produits : Champêtre. Les emballages devaient être un reflet fidèle des valeurs de l’entreprise, combiné à une mise en valeur de la qualité des produits. Des premières esquisses jusqu’à l’impression finale des emballages, en passant par une séance photo et la création de la signature Champêtre, nous avons accompagné et supporté le client avec succès à l’intérieur d’un échéancier très serré et bien rempli.

Nous en profitons pour remercier les membres du Groupe Dolbec ayant participé au succès de ce projet pour leur disponibilité et la confiance accordée à l’équipe de Novalux.

Champêtre réunit une gamme de pommes de terre précuites, non congelées, disponibles au comptoir des fruits et légumes des grandes chaînes d’alimentation.

  • 4 variétés nature
  • 5 variétés assaisonnées
  • 4 méthodes rapides de cuisson : au four, au micro-ondes,
    à frire à la poêle ou à la friteuse

 

Le Groupe Dolbec

Groupe Dolbec… De nos champs à votre table. Voilà, c’est aussi simple ! Les trois entreprises, Patates Dolbec, Légubec et Coac, ont sans contredit le produit qu’il vous faut. Pour eux, les légumes n’ont aucun secret. Ils savent les préparer pour répondre aux besoins de leur clientèle, que ce soit de manière individuelle, en mélanges spéciaux, frais, précuits ou cuits, tout y est ! Diversifié, flexible, fiable et à la fine pointe de la technologie, Groupe Dolbec assure ainsi la pleine satisfaction des entreprises qui requièrent leurs services.

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Savoir profiter de la vague écologique

L’écologie est très médiatisée ces temps-ci. Les gens sont sensibilisés et ils encouragent les gestes écologiques. Mais, comment tirer profit de cette volonté qu’ont les gens de vouloir sauver la planète ?

Le cas des épiceries

À l’époque, les épiceries donnaient des sacs en papier. Étant donné que les systèmes de recyclage n’étaient pas encore implantés, on a décidé de donner des sacs en plastique moins dispendieux, permettant du même coup d’épargner des arbres.

Par la suite, les organismes écologiques ont sensibilisé la population sur l’impact néfaste pour l’environnement de l’utilisation des sacs en plastique.

Profitant de cette volonté de sauver la planète, les épiceries ont commencé à vendre des sacs réutilisables.

Maintenant que la population a complètement accepté l’idée que l’utilisation de sacs réutilisables est bonne pour l’environnement, les épiceries ont décidé de vendre aussi leurs sacs en plastique.

Résultat: Que ce soit un sac réutilisable ou un sac en plastique, vous payez votre sac et vous êtes heureux de le faire, car c’est un geste écologique. Les épiceries ont donc transformé une dépense en revenu grâce au mouvement écologique.

Le cas de la SAQ

La SAQ pousse l’audace encore plus loin. Le principe de consommation est tellement bien implanté dans la tête du consommateur que lors de la « Journée de la terre », la SAQ a donné des sacs réutilisables en PLASTIQUE et les gens se sont rués pour les avoir…

Pourquoi ?  Parce que c’était un geste écologique ?

Non, tout simplement parce qu’il était beau. Le prétexte écologique servait seulement à libérer la conscience du consommateur et à justifier le fait de donner un sac polluant.

L’éducation de consommation

Ce n’est pas parce qu’une publicité dit « La cigarette tue; mâchez notre gomme à la place » que les gens vont se mettre à acheter cette gomme à mâcher !

Souvent, les clients voudraient que les gens utilisent leur produit dans tel ou tel but plutôt que d’adapter et diriger leur marketing vers ce que les gens veulent avoir. On appelle ce procédé l’éducation de consommation.

Sans l’aide des organismes écologiques, les épiceries n’auraient pas pu vendre leurs sacs de plastique. Vouloir faire de l’éducation de consommation dans une stratégie de marketing est donc un danger, car ça mène la plupart du temps à un échec.

L’art et le marketing : un couple souvent en conflit

Voici ce qui se veut probablement la parodie préférée des graphistes de ce monde : le combat éternel entre l’impact et la beauté.

Un résultat décevant d’une part comme de l’autre vient souvent d’une mauvaise compréhension du besoin réel du client :

1— Le concepteur a mal saisi le positionnement communicationnel

Le travail du directeur de la création ou du chargé de projet est crucial afin d’obtenir les besoins réels de l’entreprise. Souvent, le client connaît bien son marché et son positionnement, mais parfois il est bon d’approfondir l’analyse stratégique.

2— Le client a des goûts artistiques qui sont importants à ses yeux

Dans ce cas, il est important que le client travaille avec un designer qui a un style graphique qu’il aime. C’est pourquoi une entreprise de communication-marketing comme Novalux a plusieurs designers avec des personnalités et des styles différents, permettant ainsi au client d’avoir non seulement des outils de communication efficaces, mais aussi à son goût !