Je suis tombé récemment sur une infographie de mashable.com présentant de façon très graphique différents chiffres concernant le marketing sur les réseaux sociaux. Voici donc les chiffres qui ont retenu mon attention. Vous pouvez cliquer sur l’image ou le lien pour consulter le tableau complet (en anglais).
- Une augmentation de 33% des «checkins» dans les McDonald’s lors d’une campagne d’une seule journée offrant au hasard des rabais de 5$ ou 10$ en récompense pour les «checkins» (Foursquare, Facebook Places)
- 70% des petites entreprises utilisent Facebook comme outil de marketing alors que 66% utilisent Google
- 4 milliards de partages sur Facebook chaque jour
- 381 576 305 «checkins» Foursquare en 2010
- Augmentation de 2700% des abonnés Twitter du compte Old Spice suite à leur campagne virale «The Man Your Man Could Smell Like»
Les chiffres sont très révélateurs et plutôt encourageants pour les PME désirant faire connaître leurs produits et services via les médias sociaux.
Les Caisses Desjardins de la Région de Thetford et du Carrefour des Lacs ainsi que la Caisse d’Économie de la Vallée de l’Amiante faisaient appel à nos services afin de réaliser une campagne de sensibilisation pour ses services de gestion des avoirs et ses services aux entreprises.
Plusieurs étapes préliminaires ont précédé la diffusion des messages publicitaires journaux débutant en janvier 2011 :
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Premièrement, une rencontre exploratoire a eu lieu afin de se familiariser avec l’organisation et mieux la comprendre, la connaître.
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Ensuite, une étude de cas par le stratège marketing a suivi afin de valider sa compréhension de l’organisation, du marché et de la problématique.
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L’étape suivante a mené à un positionnement de campagne et a proposé la création publicitaire.
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Finalement, une dernière étape a défini les stratégies de diffusion à adopter ainsi que les budgets s’y rattachant.
L’équipe de Novalux a pris en charge l’idéation, la rédaction, la direction artistique, la direction photo et la production infographique des différentes publicités. Voici donc les publicités journaux diffusées en janvier et février 2011. Revenez nous voir prochainement pour d’autres détails à propos de ce dossier.
En terminant, merci aux gens de Desjardins de la Région de Thetford et du Carrefour des Lacs ainsi que la Caisse d’Économie de la Vallée de l’Amiante pour leur confiance. Nous apprécions.
Il est parfois bon de connaître les règles de composition afin d’obtenir l’impact optimal sur la composition. La vision ne nous procure pas une image haute définition, la compréhension de ce que l’on voit dépend de l’endroit où se porte notre attention.
Dans cet exemple, si vous regardez toujours la croix du centre, les visages de chaque côté de celle-ci semblent se déformer.
L’adhésion au nouveau réseau social Google+ est, à l’heure actuelle, réservée aux gens qui ont reçu une invitation. Il est intéressant de constater à quel point cette stratégie de marketing Web intensifie le besoin de rejoindre le réseau rapidement.
Bêta ou VHS ?
Difficile de prédire qui remportera la victoire.
- Nous sommes déjà tous sur Facebook
- Nos amis sont presque tous sur Facebook
- Nous ne voulons pas avoir à changer ou à consulter un deuxième réseau social
Par contre, Google+ comporte ses avantages :
- Une meilleure gestion de la vie privée
- Il n’a pas d’applications polluantes (ça viendra peut-être)
- La vidéoconférence est mieux implantée et plus efficace
- Beaucoup de gens ont déjà un compte Google (gmail ou autre), ce qui facilitera l’adhésion.
Facebook a déjà commencé à réagir en ajoutant la vidéoconférence (Video chat) à ses applications déjà existantes, mais son installation est d’une telle complexité sur certains comptes ou systèmes qu’on se décourage rapidement.
Référence : http://www.faceblogger.com/google-plus-vs-facebook/
Il y a quelques années, les passionnés de la programmation et adeptes des technologies « code source libre » (open source) prétendaient que la venue du HTML5 ferait mourir les sites en FLASH par sa puissance technologique et sa capacité d’indexation dans les moteurs de recherche…
Depuis la sortie du iPhone, le nombre d’internautes qui naviguent avec leur téléphone ne cesse d’augmenter. Il devient donc nécessaire que votre site internet soit visible depuis un iPhone. Cependant, le iPhone ne supporte pas la technologie FLASH, pas même avec le nouveau iOS 5.
Ultimement, c’est cette raison qui nous fait abandonner cette technologie. On peut donc affirmer que la popularité du iPhone a tué FLASH !
Est-ce que Apple va changer de cap ?
FLASH peut être très énergivore pour une pile de téléphone. De plus, face à la puissance du HTML5, je doute fort que Apple change d’idée. Si on considère la courbe de croissance de la popularité du iPhone, les sites se seront tous convertis au HTML avant longtemps.
La conversion
Google (Swiffy) et Adobe (Wallaby) ont déjà commencé à faire des outils de conversion. Cependant, en me basant sur mon expérience en ce qui a trait aux logiciels de conversion, il est à prévoir qu’il sera plus simple de refaire les sites que d’utiliser ces outils.
Source: http://www.waebo.com/google-swiffy-convertir-les-fichiers-swf-en-html5.html
Après avoir développé le positionnement et la nouvelle identité visuelle du Groupe Dolbec, nous avons travaillé en étroite collaboration avec son équipe afin de concevoir et de réaliser le branding et les emballages pour sa toute nouvelle marque de produits : Champêtre. Les emballages devaient être un reflet fidèle des valeurs de l’entreprise, combiné à une mise en valeur de la qualité des produits. Des premières esquisses jusqu’à l’impression finale des emballages, en passant par une séance photo et la création de la signature Champêtre, nous avons accompagné et supporté le client avec succès à l’intérieur d’un échéancier très serré et bien rempli.
Nous en profitons pour remercier les membres du Groupe Dolbec ayant participé au succès de ce projet pour leur disponibilité et la confiance accordée à l’équipe de Novalux.
Champêtre réunit une gamme de pommes de terre précuites, non congelées, disponibles au comptoir des fruits et légumes des grandes chaînes d’alimentation.
- 4 variétés nature
- 5 variétés assaisonnées
- 4 méthodes rapides de cuisson : au four, au micro-ondes,
à frire à la poêle ou à la friteuse
Le Groupe Dolbec
Groupe Dolbec… De nos champs à votre table. Voilà, c’est aussi simple ! Les trois entreprises, Patates Dolbec, Légubec et Coac, ont sans contredit le produit qu’il vous faut. Pour eux, les légumes n’ont aucun secret. Ils savent les préparer pour répondre aux besoins de leur clientèle, que ce soit de manière individuelle, en mélanges spéciaux, frais, précuits ou cuits, tout y est ! Diversifié, flexible, fiable et à la fine pointe de la technologie, Groupe Dolbec assure ainsi la pleine satisfaction des entreprises qui requièrent leurs services.
L’écologie est très médiatisée ces temps-ci. Les gens sont sensibilisés et ils encouragent les gestes écologiques. Mais, comment tirer profit de cette volonté qu’ont les gens de vouloir sauver la planète ?
Le cas des épiceries
À l’époque, les épiceries donnaient des sacs en papier. Étant donné que les systèmes de recyclage n’étaient pas encore implantés, on a décidé de donner des sacs en plastique moins dispendieux, permettant du même coup d’épargner des arbres.
Par la suite, les organismes écologiques ont sensibilisé la population sur l’impact néfaste pour l’environnement de l’utilisation des sacs en plastique.
Profitant de cette volonté de sauver la planète, les épiceries ont commencé à vendre des sacs réutilisables.
Maintenant que la population a complètement accepté l’idée que l’utilisation de sacs réutilisables est bonne pour l’environnement, les épiceries ont décidé de vendre aussi leurs sacs en plastique.
Résultat: Que ce soit un sac réutilisable ou un sac en plastique, vous payez votre sac et vous êtes heureux de le faire, car c’est un geste écologique. Les épiceries ont donc transformé une dépense en revenu grâce au mouvement écologique.
Le cas de la SAQ
La SAQ pousse l’audace encore plus loin. Le principe de consommation est tellement bien implanté dans la tête du consommateur que lors de la « Journée de la terre », la SAQ a donné des sacs réutilisables en PLASTIQUE et les gens se sont rués pour les avoir…
Pourquoi ? Parce que c’était un geste écologique ?
Non, tout simplement parce qu’il était beau. Le prétexte écologique servait seulement à libérer la conscience du consommateur et à justifier le fait de donner un sac polluant.
L’éducation de consommation
Ce n’est pas parce qu’une publicité dit « La cigarette tue; mâchez notre gomme à la place » que les gens vont se mettre à acheter cette gomme à mâcher !
Souvent, les clients voudraient que les gens utilisent leur produit dans tel ou tel but plutôt que d’adapter et diriger leur marketing vers ce que les gens veulent avoir. On appelle ce procédé l’éducation de consommation.
Sans l’aide des organismes écologiques, les épiceries n’auraient pas pu vendre leurs sacs de plastique. Vouloir faire de l’éducation de consommation dans une stratégie de marketing est donc un danger, car ça mène la plupart du temps à un échec.
Selon eMarketer, le commerce de détail en ligne au Canada rattrape celui des États-Unis. En 2011, les achats devraient atteindre 18,5 milliards, une augmentation de 12 % depuis 2010. En 2015, les dépenses en ligne devraient presque doubler pour atteindre 30,5 milliards.
Vous avez un produit unique qui attire déjà l’attention dans votre marché local ? Un produit du terroir savoureux, un produit artisanal haut de gamme, un produit haute technologie ? Pas nécessaire d’être une multinationale pour penser en faire la vente en ligne. Les nouvelles technologies internet ont démocratisé les processus pour l’achat en ligne. Que ce soit pour le paiement, la création d’un site Web, la gestion des commandes et des inventaires ou la promotion de vos produits par la publicité en ligne ou sur les médias sociaux, plusieurs outils vous sont offerts et notre équipe de spécialistes des solutions Web est disponible pour vous guider, vous conseiller et vous accompagner afin d’augmenter vos ventes grâce au commerce électronique tout en profitant de l’explosion des dépenses en ligne prévues au Canada.
Voici ce qui se veut probablement la parodie préférée des graphistes de ce monde : le combat éternel entre l’impact et la beauté.
Un résultat décevant d’une part comme de l’autre vient souvent d’une mauvaise compréhension du besoin réel du client :
1— Le concepteur a mal saisi le positionnement communicationnel
Le travail du directeur de la création ou du chargé de projet est crucial afin d’obtenir les besoins réels de l’entreprise. Souvent, le client connaît bien son marché et son positionnement, mais parfois il est bon d’approfondir l’analyse stratégique.
2— Le client a des goûts artistiques qui sont importants à ses yeux
Dans ce cas, il est important que le client travaille avec un designer qui a un style graphique qu’il aime. C’est pourquoi une entreprise de communication-marketing comme Novalux a plusieurs designers avec des personnalités et des styles différents, permettant ainsi au client d’avoir non seulement des outils de communication efficaces, mais aussi à son goût !
Voici un faire-part de mariage plutôt original…
Source : http://kellianderson.com/blog/2011/04/a-paper-record-player/